Un couple charentais, Elsa et Quentin, a vécu un véritable cauchemar après l'achat d'un Renault Arkana hybride en 2022. En seulement deux ans, leur véhicule a connu 13 pannes, transformant leur rêve d'une voiture moderne et fiable en un véritable enfer.
Points Clés
- Achat en 2022 : Elsa et Quentin achètent un Renault Arkana hybride, espérant fiabilité et confort.
- Multiples Pannes : Le véhicule subit 13 pannes en deux ans, avec des immobilisations prolongées.
- Problèmes de Sécurité : Des pannes mettent en danger la sécurité du couple et de leur enfant.
- Solution En Attente : Le couple envisage de rompre leur contrat, mais attend une réponse de Renault.
Un Achat Qui Devenait Un Cauchemar
En janvier 2023, seulement six mois après l'achat, le Renault Arkana tombe en panne pour la première fois à cause d'un problème d'embrayage. Bien que Renault ait qualifié cela de "problème mineur" nécessitant une mise à jour, le véhicule a été immobilisé pendant un mois.
Malheureusement, ce n'était que le début. Le même problème est réapparu quelques mois plus tard, entraînant une immobilisation de 10 mois. Pendant cette période, Elsa et Quentin ont continué à payer plus de 500 euros par mois pour une voiture qu'ils ne pouvaient pas utiliser.
Retour au Garage
Après presque un an sans leur véhicule, le couple a enfin récupéré leur Arkana en octobre 2023. Cependant, la joie a été de courte durée. Après un simple passage sur un dos-d'âne, des voyants se sont allumés sur le tableau de bord, signalant une casse moteur.
Le véhicule a de nouveau été renvoyé au garage, où Renault a admis qu'une pièce avait été mal montée lors de la dernière réparation. Bien que le problème ait été corrigé, un nouvel incident a eu lieu début janvier 2025, lorsque la voiture s'est éteinte en plein trajet, mettant en danger la sécurité de la famille.
Une Décision Difficile
Face à cette accumulation de pannes, Elsa et Quentin ont décidé de rompre leur contrat. Cependant, le concessionnaire leur a demandé entre 7 000 et 8 000 euros pour mettre fin à leur engagement.
Renault, de son côté, a tenté de minimiser la situation en parlant d'un "épiphénomène". Actuellement, une solution commerciale est envisagée, mais le couple attend toujours une réponse concrète.
Conclusion
En attendant, Elsa et Quentin continuent de payer pour un Renault Arkana qui leur inspire de plus en plus de craintes. Ils redoutent la prochaine panne, qui semble inévitable au vu des problèmes déjà rencontrés. Ce cas soulève des questions sur la fiabilité des véhicules modernes et la responsabilité des constructeurs face à des situations similaires.